Maryline JOSSE née le 1er mars 1958 à Paris 14ème, issue d’une famille nombreuse, n’ayant pas connu son père. Son enfance s’est déroulée à Gamaches, une petite ville de la Somme se situant à une vingtaine de kilomètres du Tréport. Sa vie d’adulte, de femme et de mère s’est poursuivie à Bouttencourt, un petit village de la Somme (80) en Picardie, limitrophe de Blangy-sur-Bresle en Seine-Maritime (76) en Haute Normandie. Trois enfants et quatre petits enfants sont venus embaumer sa vie jusqu’à ce qu’au summum de sa souffrance, elle s’enfuie de chez elle, abandonnant tout derrière elle pour échouer dans les services sociaux.
Tel un acharnement, la descente aux enfers se poursuivit et donna lieu à un premier ouvrage : Le Destin de Grand-Mère Joséphine aux éditions Edilivre qui retrace sa vie depuis sa rencontre avec celui qu’elle croyait être son prince charmant jusqu’à sa douloureuse séparation. Un deuxième manuscrit intitulé Secrets de Chaumières a ensuite été publié aux éditions Saint-Honoré, il retrace la vie de trois générations dans le but de démontrer l’impact des secrets de famille bien cachés, qui finissent par se reproduire de manière plus dramatique dans les générations suivantes. Un troisième ouvrage sera publié prochainement, il s’intitule Le Tsunami de ma vie et clôturera la trilogie sur le cauchemar de l’aliénation parentale. Tous les écrits ont pour but de dénoncer les effets dévastateurs de l’aliénation parentale. Il a fallu presque six années de recherches, d’analyses, d’implication dans différentes associations luttant contre ce fléau pour pouvoir révéler ouvertement les mécanismes et conséquences de l’alié
nation parentale ; l’objectif principal étant sa reconnaissance par l’appareil judiciaire français ainsi que la sensibilisation d’un large public des ravages engendrés par ce fléau social. C’est le cri du cœur d’une mère et grand-mère privée de ses enfants et petits-enfants, qui aujourd’hui est « désenfantée », voilà la punition qu’elle subit pour avoir osé quitter son conjoint. A l’heure actuelle nous sommes des milliers de mères, de pères et grands-parents privées injustement de nos enfants et / ou petits enfants, mais notre souffrance est laissée dans la plus grande indifférence de l’état qui n’a, jusqu’à maintenant, pas voulu prendre la mesure des situations dramatiques causées par l’aliénation parentale.