À ma mère, à mon père

« Nous sommes en 2017. L'auteur prend connaissance comme tout le monde des commémorations, anniversaires et décès de personnes (hommes et femmes) que les médias ne cessent d'encenser sur demande de leurs lobbies. Il en va de même de faits divers au travers desquels nos gouvernants font passer des messages. Les commémorations sont sacralisées. Un devoir moral, une arme politique.
Tout est orienté par nos gouvernants qui imposent un politiquement correct de l'information et des actions. Les journalistes sont devenus les commentateurs de ce contexte. On glorifie et on condamne. Les gens sont catalogués, condamnés ou glorifiés. L'histoire de France est révisée. Les lobbies qui sont derrières règnent ou veulent régner. La dernière guerre mondiale a laissé des traces. La nouvelle est pire. […] »