Les Foulards Noirs Tome 1

Par Guy J. Roche

Thème : Roman historique

Date de publication : 22/06/2015

1502. Arrière-pays boulonnais. Henri Boullongne, adolescent de 14 ans d’une famille de bûcherons, croise inopinément le chef d’une bande de routiers, dite des foulards noirs, qui a pillé plusieurs villages proches de la cité de Desvres. Suite à une nouvelle razzia qui frappe son village de Crémarest, sa déposition circonstanciée à la salle de justice du bailliage permet le démarrage de l’enquête. Un premier suspect, le tavernier Leborgne, est interrogé par le bailli Lesage… Ce récit a pour toile de fond un monde en mutation (les grandes découvertes maritimes, le développement de l’imprimerie, etc.) où néanmoins les us et coutumes ont encore force de loi et où les croyances du Moyen Âge, auxquelles n’échappe pas notre héros, sont toujours solidement ancrées…

Grand Format (170x240)
330 pages
ISBN : 9782332815293

28,50 €

13,99 €

Papier

Numérique

Du même auteur

Avis des lecteurs

A quand la suite ? - 11/12/2015

Bravo Guy pour ce magnifique livre que je viens de terminer. J''attends avec impatience de connaitre la suite des aventures de la famille Boullongne et notamment de leur fils Henri. Merci pour ta dédicace qui nous a fait très plaisir à Marie et moi. Toutes nos amitiés à vous deux.

Impressions premières - 12/07/2015

L'extrait laisse entrevoir un roman truffé de nombreuses références à la vie et à l'histoire locale du Boulonnais de la fin du Moyen Âge, début de la Renaissance. J'attends avec impatience d'avoir le livre en main pour suivre l'intrigue, et confirmer ma première réaction. D'ores et déjà bravo !

Primeure Foulards noirs - 02/07/2015

Bonjour Guy, Alors, HEUREUX ? Enfin, il est édité, après toute l'effervescence qu'il a suscité. Et je suis bien content, moi aussi de te faire passer un message d'encouragements et de félici(aussi)tations, pour cet événement capital dans ta vie d'hommmeprofécrivain, encouragements, maintenant, pour vivre le suivi de l'Aventure au box-office. D'autant plus content, car je vois que je serai peut-être le premier à déposer un commentaire dans cette rubrique d'"Avis des lecteurs" sur le site de l'éditeur. J'en profite pour te remercier de ton extrême gentillesse de nous avoir réservé, à Claudine et à moi, un exemplaire dédicacé, ce qui nous a beaucoup fait plaisir, et même émus, (tu nous connais, et surtout moi), et nous apprécions le signe d'amitié ; il est plus facile pour moi de te l'écrire, plutôt que de te le bafouiller verbalement sous le seau de l'émotion. Ton ouvrage ira, bien sûr après lecture, prendre une place toute particulière sur nos rayonnages bibliothécaires, il faudra bien que tous ceux qui y siègent déjà acceptent de te faire une place d'Honneur. Et aussi de se re-déranger pour les tomes suivants. Je me suis d'ailleurs précipité sur les pages d'extrait, que j'ai parcourues en grande diagonale, hâté que j'étais à te faire part du ressenti que ces quelques lignes me procuraient. Je ne voulais pas en lire d'avantage, préférant le faire avec plus de délectation, l'objet "papier" entre les mains (et oui, c'est bien là une marque de notre génération). Je pourrai alors voyager avec un grand plaisir et une grande gourmandise dans notre région et dans notre histoire, en me laissant entraîner par ta langue toujours plaisante et pleine de subtilité, qui a d'ailleurs su guider nos échanges tout au long de la gestation de ces fameux Foulards noirs. Et c'est avec impatience, que je me prépare à me nourrir de ce texte littéraire, mais aussi culturel, car dans ces temps actuels, on assiste assez souvent, malheureusement, à des exemples de manifestations et d'exactions visant à nous faire oublier ce besoin fondamental de nous ressourcer à des valeurs humaines et universelles . Chez nous, comme à l'international, bien tristement hélas. Et tu fais bien de rappeler le passé, trop promptement oublié, pour l'arrêter et nous permettre de faire un grand pas en avant vers plus de vérité, même romancée, et plus d'humanité. Encore un fois merci, et nous y associons, bien sûr Annie. Je n'ai pas besoin de signer, tu nous auras reconnus.