Livre

Le noctambule

Le noctambule

suivi de Bandeau noir

Par Gaëtan Faucer

Thème : Essai / Etude autres

Date de publication : 27/12/2013

De tous les lieux mystérieux, les cimetières en sont les rois. Qui n'a jamais eu envie de passer une nuit de pleine lune à déambuler parmi quelques tombes ? Le grand frisson fait place à l'aventure. La mort, elle, devient plus vivante que jamais ! Le voyage peut commencer. Quand le réveil est propice à la rêverie, il est alors permis de s'évader. Agir avant qu'il ne soit trop tard...
  • Roman (134x204)
  • 34 pages
  • ISBN : 9782332644367
9,00 €
4,99 €
Papier
Numérique

Gaëtan Faucer

Biographie

Gaëtan Faucer

Gaëtan Faucer est auteur et scénariste, il vit à Bruxelles.

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Avis des lecteurs

Un petit livre soigné - 09/04/2014

"Le noctambule" suivi de "Bandeau noir", un petit livre soigné , propose deux récits, que l’on verrait bien aussi adaptés au théâtre, tant les décors ont cette frappe scénographique. La première nouvelle nous mène dans un cimetière d’étoiles ou de tombes. Le narrateur s’y débat comme un poisson dans l’eau. Sa solitude trouve là un véritable dérivatif à de mornes moments. Ici, au milieu des tombes, il se sent vivre, revivre. L’autre texte explore lui aussi un milieu marginal, pour tout dire interlope. Un acteur pornographique se retourne vers son passé, sans doute guère glorieux de comédien X, mais quelle métamorphose s’annoncerait-elle ? Change-t-on de peau ? De corps ? Le passé serait-il un tag éprouvant dont on ne peut se délester. À l’occasion d’une embauche, nouveau point de départ, l’antihéros se répand en réflexions amères…quoique l’espoir pointe aussi une nouvelle voie…Sait-on jamais ? Les deux nouvelles, en dépit de leur brièveté, consignent, une fois de plus, les mêmes préoccupations existentielles d’un auteur happé, entre beauté et noirceur, par les prestiges de la solitude et de la communauté espérée comme un baume. Philippe Leuckx

Une méditation dans un cimetière - 08/04/2014

Une méditation dans un cimetière, un peu comme dans Hamlet. Le narrateur y a sa place entre Sophie et Evariste, et, paradoxalement, c’est quand il n’est pas au cimetière qu’il est triste. Ce goût pour les tombes fait un peu songer aux petits romantiques français, Xavier Forneret ou Aloysius Bertrand. Un climat de douce mélancolie, qui vire parfois à la frénésie. Ici, il n’y a que la douceur en ce beau passage final. Joseph Bodson

Oui ! - 18/02/2014

Grâce à la fluidité et à la légèreté de la plume de l'auteur, ainsi qu'à la finesse et au raffinement de ses mots, le lecteur se plonge tout de suite dans l'ambiance de ces deux superbes nouvelles. A quand la (les) prochaine(s) ???!!

La nuit - 19/01/2014

Après ça, je ne regarderai plus jamais un cimetière de la même manière. Très bonnes nouvelles. Franchement à conseiller.

Encore ! - 15/01/2014

Très bonnes nouvelles, on ne sent pas le temps qui passe. On termine les deux histoires et l'on se dit : vivement d'autres. Merci à l'auteur pour ce bon moment.