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La pierre à seins <i> Suivi de<i>  Vie sans vie

La pierre à seins Suivi de Vie sans vie

Nouvelles

Par Elvire Bôh

Thème : Autres / Divers

Date de publication : 07/10/2015

La pierre à seins Traditions et coutumes peuvent avoir des fondements visibles, mais aussi cachés. Nous perpétuons ces traditions et coutumes non pas parce qu’on est convaincu de leur bien-fondé parfois inexistant, mais parce que nous sommes pour la plupart nés après elles. Certaines pratiques ancestrales peuvent s’avérer au fil des temps dangereuses, et elles devraient, pour le bien de tous être abolies. C’est le cas du massage des seins qui est encore pratiqué de nos jours dans certaines tribus en Afrique, particulièrement à l’ouest et au nord-ouest du Cameroun. L’histoire de Tessa devrait encourager les jeunes filles exposées au massage à dire non à cette pratique, et freiner toutes les masseuses dans leur élan. Vie sans vie Même si nous ne faisons pas partie de ceux qui s’engagent corps et âme pour la cause commune, nous ne devons en aucun cas faillir lorsqu’il s’agit de se lever contre la violence, surtout lorsque nous en somme victime. Une vie marquée par la violence est une Vie sans vie, c’est un sort que personne ne mérite de subir, surtout pas le ou la partenaire avec qui on a choisit de passer son séjour terrestre. La vie est un don gratuit, faisons-en bon usage, tournons le dos à la violence.
  • Roman (134x204)
  • 84 pages
  • ISBN : 9782332935724
11,50 €
4,99 €
Papier
Numérique

Elvire Bôh

Biographie

Elvire Bôh

Elvire Bôh est originaire du Cameroun. Elle est née en 1982 à Bertoua et a passé son enfance et son adolescence à Yaoundé, où elle fréquente tour à tour l’école maternelle et primaire de Mvog-Betsi, le collège d’enseignement secondaire d’Etoug-Ebé et le lycée de Biyem-Assi. En 2001 elle obtient son Baccalauréat A4 Espagnol et s’envole deux ans plus tard pour l’Allemagne où elle fait une licence en communication multilingue à l’école supérieure technique (Fachhochschule) de Cologne, et poursuit un master en études Européennes à l’université d’Aix-La-Chapelle. La passion d’Elvire Bôh est de transformer sa pensée non pas en paroles de peur qu’elles s’envolent, mais en écrits afin qu’ils restent.

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