Je m’appelle Loïk Perrin, je suis né à Saint-Etienne le 21 décembre 1990. J’ai commencé l’écriture vers l’âge de 14 / 15 ans dans une période assez délicate de ma vie. Dès les premières lignes, je me suis rendu compte à quel point l’écriture faisait du bien au cœur et au moral. La puissance que possèdent les mots m’a toujours aidé à surmonter les épreuves et petit à petit, je me suis pris d’amour pour l’écriture.
J’ai tout d’abord commencé par écrire des poèmes brouillons sur les mélodies de Renaud, mon idole d’enfance. Ensuite, j’ai découvert les univers de George Brassens, de Jacques Brel, de jean Ferrat, de Léo Ferré dont je suis profondément admiratif. J’ai approfondi mes connaissances en matière de poésie et de littérature en lisant les œuvres de Maïakovski, d’Aragon, Baudelaire, Rimbaud, Lorca, Vian, Voltaire, Camu et bien d’autre.
Les années passant, je me suis découvert une envie nouvelle, celle d’écrire des histoires sous forme de nouvelles, mais surtout de romans. Après avoir concrétisé différents projets poétiques et mis des nouveaux en place, je me suis lancé dans l’écriture de longues histoires pouvant retracer et décrire des sujets qui me tiennent particulièrement à cœur. Le champ d’expression étant plus vaste cela me permet d’argumenter et d’enrubanner des sujets parfois lourds dans des récits réels ou fantastiques.
Le contexte général de mon quotidien, l’évolution du monde et des sociétés, les valeurs humaines qui ne sont plus souvent respectées, sont autant d’éléments moteurs à mes créations. L’écriture est un formidable moyen d’expression dont il me paraît important, voire essentiel, de s’en servir pour relater des sujets trop souvent tu, mis de côté ou délaissés part certain.
Pour faire simple, j’écris pour m’exprimer et par ce fait, je tiens particulièrement à utiliser l’écriture comme d’une arme, bien plus intelligente que les fusils ou autres bombes, géniteurs de la haine. J’écris également pour faire voyager les gens, leur apporter modestement un peu d’évasion dans leur vie et si le simple fait que de leur offrir un moment de répit peut apparaître à la lecture, j’en serais le plus heureux des hommes.
