Effata ! C’est-à-dire : « Ouvre-toi. » (Mc 7, 34)

De primes abords, religion et psychanalyse semblent n’avoir pas de point commun. Mais en précisant certains termes philosophiques et psychanalytiques il est possible de comprendre les liens intimes qui les unissent à la religion, ce qui n’a rien d’étonnant puisque la source judéo-chrétienne de la civilisation est la même.
D’abord centrées sur l’être humain comme organisme vivant, des analogies sont retrouvées à propos de l’inconscient, de la sexualité psychique, de la puberté psychique, de la circoncision, de la grossesse et de l’accouchement.
Puis, en considérant l’humanité comme un organisme vivant, s’accordent religion, philosophie et psychanalyse sur la « nécessaire existence de Dieu », sur l’immortalité de l’âme, sur l’importance du pardon.
Enfin, en post-scriptum, une nouvelle théorie – « la théorie des focales psychiques » – résume en quelques pages ce que l’auteur a mis trente-cinq années à comprendre.
Dans cette société dite liquide, l’éthique remplacera la morale. Pour le bien de l’humanité.

« Félicitations pour cette superbe réflexion dont je comprends qu’il ait fallu du temps pour la formuler. Bravo. »
Pr Jacques Milliez de l’Académie de Médecine. 
À propos du post-scriptum (p. 89) sur la théorie des focales psychiques