Livre

Clair-obscur

Par Stéphane Bret

Thème : Roman historique

Date de publication : 30/06/2015

« Clair-obscur » : distribution des lumières et des ombres, ambiguïté, incertitude.

C’est ce que vont vivre Arlette Gravier, employée aux Trois Quartiers, Arnaud Larribe, métreur, Damien Rubot, ouvrier chez Citroën, pris dans les drames de la France des années 1940-1945. Ils répondront aux interrogations du moment en fonction de leur engagements passés, et par l’appel à leur conscience individuelle, seul recours possible en ces temps où tout s’écroule, où l’obscurité triomphe dans un premier temps pour faire place ensuite à une incertaine clarté, porteuse d’espoirs fragiles.

Roman (134x204)
112 pages
ISBN : 9782332960634

12,50 €

5,99 €

Papier

Numérique

Biographie

Stéphane Bret

Stéphane Bret, âgé de 63 ans, réside à Boulogne-Billancourt. Il collabore régulièrement aux blogs littéraires La Cause Littéraire, Babelio, Critiques Libres, Lecteurs Orange, et Benzinemag. Clair-obscur est son cinquième roman.

Avis des lecteurs

Récit historique - 10/01/2016

Récit historique sur la Résistance très vivant, bien écrit et qui nous plonge dans la vie de tous les jours sous l'occupation. On le lit d'une seule traite. Bravo!

L'ambiguité des conduites face à l'Occupation - 24/09/2015

La description du comportement des personnages , comme Arlette Garvier et Arnaud Larribe confirme un mécanisme humain : l'influence des engagements passés pour Arlette Gravier, ancienne syndicaliste et militante , et le rôle de la conscience pour Arnaud Larribe, bourgeois d'origine, pétainiste au départ, qui s'insurge à son tour comme patriote . Un beau roman à recommander pétri d'humanité !

Un résumé éloquent - 15/07/2015

Bon résumé, des possibilités offertes à des individus en plein drame (celui de l'Occupation des années 1940-1945) pour se déterminer : leur conscience, leurs engagements passés, leur capacité à réfléchir. On trouve dans ce roman des mentions intéressantes sur la propagande du régime de Vichy, la censure, la répression, les rafles antisémites. L'hommage à Radio-Londres est aussi à noter. Les personnages sont attachants, on croit à leurs doutes, leurs motivations.