Livre

Chroniques d'un enfant du Panier (1957-1966...) - Réédition en noir et blanc

Chroniques d'un enfant du Panier (1957-1966...) - Réédition en noir et blanc

Par André Farines

Thème : Témoignage

Date de publication : 02/09/2015

Cet ouvrage raconte l'histoire d'un enfant arrivé à l'âge de cinq ans dans le plus vieux quartier de Marseille, le quartier du Panier, à la fin des années 50.
Abordée sous différents thèmes, cette histoire est celle de l'enfance de l'auteur, pendant neuf années durant, et même au-delà, puisque le récit se termine en réalité au début des années 70, à l'aube de ses vingt ans.
C'est un livre d'images qui nous replonge dans toute une époque avec pour thèmes principaux le quartier, ses habitants, les jeux, les sorties, les aventures grandes et petites.
C'est une chronique rythmée par les événements, les saisons, et la scolarité qui se terminera au moment de l'arrivée des sentiments amoureux et du départ vers d'autres horizons.
Un retour coloré et animé dans le Marseille des années 60.
  • Roman (134x204)
  • 286 pages
  • ISBN : 9782334018173
21,00 €
9,99 €
Papier
Numérique

André Farines

Biographie

André Farines

Tout a commencé le 14 octobre 1952, dans une maternité de l'avenue du Prado à Marseille où l'auteur est né.
À l'âge de cinq ans, ses parents ayant décidé de quitter le secteur du boulevard Baille pour acheter un petit appartement dans le quartier du Panier, il découvre ce quartier village, dont il relate le souvenir dans cet ouvrage.
Le choix, plus tard, de sa carrière dans la Fonction Publique Hospitalière, est peut-être dû à l'héritage qu'il a reçu de ces années passées dans son quartier de cœur, où les gens, la plupart de condition modeste et venus de tous les horizons, vivaient simplement et en bonne entente sans distinction de race ni de religion.

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Avis des lecteurs

Nostalgie de Marseille - 11/01/2016

Une chronique agréable d'un vieux quartier de Marseille, et, pour être native de cette ville ensoleillée, j'ai reconnu quelques endroits immuables, les ruelles tortueuses, le passage du bateau Kairouan, quelques vieilles enseignes de marques disparues, et le vocabulaire local, qu'on entend avec l'accent! Une très belle évocation...