Charte Edilivre :

Edilivre a à cœur deux valeurs principales, fondatrices d’une véritable charte morale : la liberté et le respect. La liberté d’écrire et de lire constitue la fondation même de notre activité : en diminuant les risques et en facilitant l’accès à la publication pour tous, Edilivre s’engage dans un processus démocratique où l’auteur ne subit pas le joug de la censure, mais demeure maître et possesseur de sa plume et de son art. Une deuxième liberté fondamentale s’ajoute qui n’exclut en rien la précédente, mais au contraire la renforce : le respect des autres, ce même respect qu’engage l’écrivain vis à vis de son œuvre…car comme disait Sartre : « autrui c’est l’autre, c’est-à-dire le moi qui n’est pas moi ».

De la liberté

Edilivre porte bien en son sein la notion de liberté comme constitutive de son existence même.

Cette liberté passe d’abord par le support numérique qui est un moyen de donner vie à votre talent, mais également par la possibilité d’incarner votre ouvrage au sens littéral du terme, de le faire chair, de le faire se métamorphoser en œuvre de papier, que vous pourrez lire, feuilleter, parcourir, ouvrir, refermer, offrir ; bref : faire vivre.

De plus, il n’y a pas de quantité d’ouvrages imposés : vos désirs sont donc des ordres…3, 10, 30, 50, 100, 200, 300, 500, 1000…à vous de jouer.

La liberté c’est aussi celle de choisir si l’on veut posséder le processus éditorial de bout en bout, ou si l’on préfère être conseillé, dirigé, appuyé. Nous vous proposons ainsi des services éditoriaux qui ne sont là que pour essayer de tendre vers la perfection formelle : corrections, relecture, mise en page… Vous pouvez choisir d’apprécier ces services ou de vous en passer. C’est aussi ça la liberté : décider.

Enfin, la liberté passe aussi évidemment par l’échange. A quoi me sert-il d’être libre si je ne peux profiter de ma liberté avec autrui ? Edilivre a aussi pour but de défendre et de promouvoir les ouvrages publiés, par le biais de nombreux partenariats avec des librairies prestigieuses et connues de tous, aussi bien traditionnelles que en ligne.

La liberté c’est enfin la facilité de la lecture qui devient plus accessible grâce au phénomène du téléchargement, qui plus est à un prix extrêmement avantageux. Au lieu de vous presser dans les librairies pour y trouver l’ouvrage de votre choix, perdu entre des centaines d’autres livres, un seul clic et la magie opère : la lecture devient instantanée. Vous pouvez ainsi lire et être lu de chez vous, à un moindre coût… Edilivre met ainsi la technologie à votre service, afin de vous faciliter l’accès au savoir et à l’Art.

Une fois les ouvrages en ligne, leur consultation aisée permet à des lecteurs venant d’horizons divers de vous lire, et vous d’échanger votre savoir et vos idées dans un élan d’enthousiasme et de nouveauté.

Du respect de l’Autre et de l’Art

La liberté passe évidemment par le respect des autres et donc de leur intégrité, de leur statut d’Homme. La littérature est un moyen de sublimer l’être, non de lui porter atteinte.

Par respect des autres, on entend l’interdiction formelle d’évoquer ou de prendre part à :
– Des propos racistes ou haineux qui incitent à la haine raciale, et portent notamment sur les origines, la langue, les coutumes… qui, en réalité, fustigent l’Homme et le dénigrent.
– Des injures qui portent atteinte à l’intégrité humaine,
– Des atteintes à la justice de tout ordre qu’elles soient,
– Le non-respect de la vie privée qui passe par l’utilisation de noms ou d’informations qui avaient été énoncées comme « confidentielles »,
– Le non respect du droit d’auteur (comme l’utilisation d’images par exemple).

C’est donc en respectant ces deux valeurs que chacun pourra partager ses idées, ses talents et son savoir en bonne intelligence avec tous, dans un élan de respect mutuel et fraternel.
Le non-respect de ces principes entraînera de la part de celui qui s’y exposera de se voir refuser toute publication, à moins que l’auteur accepte de retirer les propos diffamatoires et ou insultants qui étaient exprimés dans son œuvre.

Pour ce qui est du reste, comme disait Paul Verlaine : « tout le reste est littérature » !