Bande-annonce

Bande-annonce de «L’Effluve amer» de Lazhar Ben Ali
7 mars 2016
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Bande-annonce de «L’Effluve amer» de Lazhar Ben Ali

bannde_annonce_l_effluve_ame_EdilivreNous avons le plaisir de vous présenter la bande-annonce de L’Effluve amer aux Éditions Edilivre.

 

 

 

 

 

 

[youtube= »https://www.youtube.com/watch?v=-E7Q4a2bmBg&feature=youtu.be »]

 

 

– Détails sur le livre :
. Format : 13,4×20,4
. Nombre de pages : 130
. Date de publication : 26 février 2016

– Résumé du livre :
La cinquième œuvre de l’auteur, L’Effluve amer (74 poèmes, 1 conte, 1 nouvelle, 2 textes de prose et 1 essai) est le fruit d’un désordre significatif. Ce choix est dicté par l’humeur, la mémoration, l’émotion, l’inspiration et le hasard de l’instant.
Dans ce recueil, l’auteur s’est essayé à la poésie dans toutes ses formes et sur tous les thèmes. Là, il a bu jusqu’à la lie sa profonde musicalité, ses rares félicités et ses nombreuses infélicités. Ainsi, il en a vu de toutes les couleurs et goûté à toutes les saveurs, notamment sur un ton d’aigreur, qui écorche des sujets d’actualité.
Ces thèmes forgés, dans leur majorité, du vif de la vie, sont traités avec prépondérance, émotion et sensibilité. Si l’émotion n’embue les yeux de l’auteur, elle n’atteint pas son âme, ni sa plume ; il n’écrit qu’aux larmes des Hommes, à l’encre des yeux.

– Biographie de l’auteur :
Lazhar Ben Ali est né en 1958 à Dhoukara, de Gafsa-Nord. Il a fait ses études primaires à l’école primaire d’Ouled Ouhiba bâtie au début des années 50, sous la colonisation. Il a poursuivi ses études secondaires au lycée mixte de Gafsa (bac 1978). À la fin de ses études supérieures, à l’institut des langues vivantes à Tunis, il a décroché, avec mention, la maîtrise combinée de langues, en juin 1983.

Depuis, il s’est embarqué dans l’enseignement de la langue française, pendant 20 ans au lycée Chebbi de Tozeur. Puis à la fin des dictatures, animé par le dépit et le défi, il a tenu la direction d’un établissement, dont il a volontairement démissionné. Enfin, c’est la passion pour la classe qui a prévalu chez lui (professeur principal) pour continuer la carrière pour laquelle il s’est dévoué.