Interview écrite

8 avril 2016
Posté par
Guillaume

Rencontre avec Clément Velluet, auteur de « La langue des sirènes aux yeux des chairs nues »

Dans quelle région habitez-vous en France ?J’habite en France, dans l’Isère, à Bourgoin-Jallieu.

Présentez nous votre ouvrage :
Mon ouvrage est une invitation à rendre transparence, les blés, le Verbe des substrats ontologiques… Comme une transformation à jouer avec l’entropie des paradigmes, des quadrillages infinitésimaux, abstraits. Des privatisations  de yeux microscopiques, des fusions corporelles, de « menstruations »,  des objets mentales, en végétatives abeilles ; des bilingues associations de copules ( être ) personnification des images  athées, comme des singes robotiques, des pulsations de chairs étatiques, des erratiques syncrétismes, des divisions de papillons absences…

Pourquoi avoir écrit ce livre ?<
J’ai écris ce livre car j’aime tout d’abord, le plaisir d’écrire, d’inventer, de défricher, de déchiffrer, les linguistiques polaires, les immatérialités de Transcendances, les symétries des organiques Langues vierges, de dissémination a-linguistes, comme un clonage des absorptions, des dividendes, des moléculaires intransitivités, d’assomption des »baleines » sensitives, des imagos dépersonnalisés, des fluctuations, des  géniteurs, ventres bilingues, donc, comme une image, de catharsis / catharsis.

Avoir écrit ce livre me permet plus simplement, de trouver des solutions sur des problèmes comme les sciences, la mathématique, la physique, et même, au regard de mes poèmes, créer un nouveau Langage, une nouvelle esthétique, un style, novateur…

A quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Cet ouvrage s’adresse à tous ceux désireux de découvrir un nouveau style, une nouvelle compréhension du langage, ou  réflexion artistique et scientifique, trouvent une nouvelle essence, un nouvel angulaire des « cohomologies, » fragmentées de Verbe, minéralisés, en concrétion des abeilles chimiques !

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers cet ouvrage ?
Avant de dire quel message ai-je voulu transmettre, je me permet une digression, qui pourra, je l’espère, rendre davantage, intelligible mon œuvre.

Celle ci commence par deux analyses, l »une simple l’autre complexe :

Analyse simple :
« J’ai comme impression que, vivant comme moi même, dans des sphères au-delà, que tous les mots, sans exception, peuvent coexister ensemble. Ainsi,tous les milliers mots de la Langue  Française, sont élastiques, peuvent s’adjoindre, réciproquement… Pourquoi ? Parce que l’originel des mots est éclaté, vidé, consubstantielle, en Transcendance, en équivalence, de morphologie, préhensile, par abstraction, numérique / exemple : « Verge des cailloux : » il y a ici une projection instantanée, une à-fiscalisation, d’image « roboscopique ,»,des corps musicaux, aliénés, en phobie Transcendante, imaginaire ! Il y a « une Plastification , » de  clonage, intérieur, aux mots.. . En fait, tous les mots qui ne devraient jamais s’être intellectualisés, l’un à côté de l’autre, peuvent tous s’épouser, car: chaque mots s’agrandit en-soi, progressisme virtuel, ils sont d’effervescences. Car ils ( les mots en soi, séparés des autres, ) s’interpénètrent, à l’intérieur d’eux-même, dans une extériorité, extensive. Dans un fantasme fœtus.  Il s’agit d’une absorption, ce qui fait que chaque mots,  peuvent se lier  syntaxiquement , c’est qu’ils sont dans une dynamique verticale, à l’intérieur ,individualisé, d »eux même, ils sont  séparé dans leur « fusion »  (les mots) , autonome, est leur substance, et en même temps, ce qui les unis, c’est leur protoplasmique,  irréalisable, inexistence de sens, donc, en apparence délirant, mais ils sont dans une Transparence qui n’existe pas !

Exemple : cailloux liquide » : c’est une alimentation d’ADN, digitale, des abeilles phosphorescences, ces 2 mots  sont dans une « intra » / inter  ) ventilation, respiration ou les mots deviennent infinitésimaux, dans leur image agnostique, mécréance,  acoustique. Et, ou, il a une transformation , ou c’est chaque mot qui a besoin et trouve sa Vérité, sa possibilité positive, de crée son existence, en l’autre,  comme des vases communicants.  Il faut visualiser, conceptualiser, les mots  qui ne devraient jamais s’être trouvé à côté de l’autre, en les englobants, les enveloppants, les images des mots, dans leur totalité.  Je veux dire qu’il ne faut pas prendre séparément chaque mots, créant métaphores,  mais les utiliser, les joindre mentalement, les unir, et ne les comprendre qu’ensemble, dans leur chair génome ! Deux mots ensemble, sont, dans leur vision psychique l’un de l’autre, pour l’un, c’est le mot voisin qui est transparent, et vice versa ! Dans les métaphores, il y a une « dé- fiscalisation » atomiste, virtuelle.  Exemple : «  ampoules neiges » : les mots sont comme désintoxiqués, désintégrés dans leur cosmogonie irréelle ! Les mots sont des végétaux transparences ! »

Analyse complexe :
«  En fait, l’Humanité a comme caractéristique, d’employer, un, plusieurs, Langage, dans une androgynie, de  corporelles-mortalités-images.  Des absences.  Ou chaque mots, chaque langage du monde, est une introversion. D’à numérique. Une virtualité. Dont le sens est une cristallisation . Des Chances.  Des Devenirs, sans immatérialité, de clones absoluités, des orgasmes inconscients. Des mots, de porcelaines acryliques, des à-matérialités . De singes chrysalides. Par transfert, des images, sans Noumène Compensatoire.  Mais dans une Vitalité de nœuds géologiques, érotomanes. Des abeilles, en feuilles géométrisées, de Langue crucifiée, en Lucifer incarnation. Des ego subjectifs, incréés . Monstrations. Des écologies. D’avoine herméneutique. Des Cristaux champignons. Des bagues génocides… En fait, l’intelligence humaine, à, de toutes les nations, une entropie , non déréalisée . Des synapses végétaux :  les langues sont déstructurées d’elle-même, car elle sont sédimentées, « dé- catégorialisées, » en elle-même. Dans un primat,  dans  un climat ou toutes langues, expression verbale, est un corps à-virtualisé, « un inceste » miroir, à l’envers de son clonage, irréalisable. Une castration de sang, dans une dimensionnelle, stérilité d’absence. Une virtualité essence…  Les mots dans une modélisation, une dé-modélisation . De fruit minéral.. . Les langues du monde sont, dans un enfermement, d’idéalisée intrinsèque, de soi-même. Une Langue ( les 2 sens de langue : anatomie et expression verbale, conique  ) la langue est sa propre limitative.  Exonération molaire. Son investiture irréalisable. Imago des pulsionnelles, Transcendance , Noumène . Ou les langues du Monde sont des catatoniques, cataractes, des émotions, ou cette dernière ( l’émotion ) est l’enveloppe structuraliste, d’elle-même.  Les Langues, sont enfermées, dans une idéalité, des miroirs inconscients. Une transpiration . A l’extérieur d’elle-même, ou les pores des mots du monde, sont la structuration, et la déstructuration, des cordes cérébrales. Les expression communications, du monde sont des « automorphismes » dé-régularisés . Les mots sont leur propre extériorité privative. Ils se dédoublent. Dans une chimère qui créée, une statique i- moléculaire. Les langues, dans leur morphologie athée, primaire, s’atomisent, implosions. Dans un dédoublement . Comme des pores, des représentations, qui n’existent point . Chaque expression du langage, sous toute ses  formes, est une Aliénation phobique.  Ce qui nuit à la  compréhension du langage, et desserre, travestit, demeure factice, réduit et aveuglement de la connaissance intellectuelle, donc l’art, la  science, c’est l’absence, la non existence, de la représentation, stérile en elle-même, des mots,  ou le langage est colloïdal .  Atmosphérique . Robotisation des cônes crânes . Ou le Langage n’existe pas… Pourquoi ? Parce ce qu’il se reproduit , à l’envers sans à cônes, plasticités. La, les Langues se résorbent, dans une cristallisation . « D’homophobie » topique ! Elles sont une image,  à-substantialité ( le à renforce presque en Transcendance le mot image, / et non ne disparaît. )  Les mots sont aveuglés, par leur  exponentielle, corporéité, des âmes létales, des fruits octogonaux Ainsi, un langage universel, pour  chaque langue, devrait être inventé, comme : Exemple : cordes :  « villégiature des feuilles animales, des baisers, amendes »

Pour comprendre cette nouvelle esthétique : il faut atomiser les vibrations moléculaires, des absences . Dans une hémoglobine. Travestissement des écologies Transcendées. Une transplantation Freudienne. Un dividende cécité.  Des géométries-géographies. De plasticité magnétisé. En Langue, de savon animal, partitif des jambes locutions, des vibrisses haleines… . Ainsi, tous les mystères des sciences humaines, de la nature … .les arts, peuvent être Transcendés. Dans une alvéole, concentrique, ou toute représentation, devrait être génitif. Il faut dépecer, nos miroirs moléculaires. En asymptotes, libidinales, hétérogénéités des images illogiques, préférentielles des Transcendances, imaginées en corporelles alimentations, des idéologies de primates travestissements, des Transcendances aliénées, des cris phosphorescences, des chastetés !  Infanticide pulmonaire .  Des extensions. De « baleines »  littéraires …

Conclusion :
Cette digression reflète la phénoménalité de tout mon travail, réfléchi, écrit, qui incorpore, flagelle, l’absolu des idéalités nucléaires, des insecticides, trompes pachydermiques, des oiseaux licornes par transplantation, des degrés de sangs vertiges, des convexité de yeux polygames… .

Ou puisez vous votre inspiration ?
Je puise mon inspiration à travers les problématiques, les analyses qui ne demandent qu’à être éclaircies, des trouées de flammes, des connaissances fragmentées aux mystères qu’elles substituent, à l’intérieur des représentations de mécaniste extensivité, des acouphènes, des propriétés de « clonage » aseptisé, en morphologique phénoménalité, des identités de molaires intégrismes, sociologies introspectives, par image des ventilations de dés végétaux! Une araignée intransitive. Une incarnation des doigts érotomanes, des rousseurs cosmiques, des génies atavismes bancaires, buccaux! Végétations des alcools inodores ! Des septiques aliénations de cous australopithèques…

Je lis les plus grands philosophes, que beaucoup de gens connaissent, mais ma culture philosophique, poétique, me vient surtout de ma possibilité de dépasser les organiques, grandes problématiques existentielles…

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Je n’ai pas de projet important, pour le moment. Mais cela ne m’empêche pas de continuer d’écrire…

UN dernier mot pour le Lecteur :
Cher lecteur,

Ne t’effraie donc point de mon langage. Il est stylisé, incandescent, pulsionnel, comme des grains de raisins, à la chasteté des prières éclatées, en orgasme de pierre, virtualisé en lobotomies, des images in-cristallisées…. .  Comme une otologie, des Verbes primales, des nutritionnelles vins minéralisés, en chrysalides vétérinaires !