Actualité Edilivre

17 mars 2016
Posté par
Guillaume

L’auteur à succès du mois de mars : Sylvain Pierron

Nous avons le plaisir de vous présenter « L’auteur à succès du mois », Sylvain Pierron et son ouvrage Enfourche tes rêves… qui s’est vendu à plusieurs centaines d’exemplaires. 

Quand et comment vous êtes-vous mis à l’écriture ?
Le désir d’écrire ce témoignage remonte maintenant à plusieurs années. Je ne m’éterniserai pas sur ce sujet, compte tenu du fait que j’en explique les raisons dans l’un des chapitres de mon livre. Disons, pour faire court, que mes proches m’y ont encouragé. En janvier 2000, j’ai mis en place un blog tournant autour du groupe moto que nous avions créé avec quelques amis, et contre toute attente, à la lecture de mes récits, de nombreux motards se sont reconnus dans mes articles, certains même allant jusqu’à venir se greffer à ma propre histoire.

Fin 2014, le besoin de mettre sur papier mon aventure prend forme sous le couvert de ce qui deviendra un manuscrit 18 mois plus tard. Pour reprendre les propres termes du livre, l’idée pour moi, était de négocier « le virage raisonnable et raisonné d’une vie jusqu’à ce jour en pointillés ».

De là, sont nés deux néologismes déjà repris à l’unissons par de nombreux lecteurs : ce livre n’est rien de moins je pense, que l’histoire de la « moto-morphose » de cet « homme-bylette »  devenu par passion, auteur du témoignage de sa propre vie.

Qu’avez-vous écrit et publié jusque aujourd’hui ?
« Enfourche tes rêves… » est à ce jour mon premier ouvrage. Une très bonne surprise, je dois bien l’admettre, les retours de lecteurs s’avérant extrêmement positifs. La plus belle de mes récompenses à vrai dire !

Pourquoi avez-vous écrit ce livre et quelles ont été vos sources d’inspiration ?
Depuis un bon moment, je prenais régulièrement feu à l’idée de « dédiaboliser » le monde de la moto, sous le couvert de la mise en page de péripéties riches en humour et autodérision. Mais il fallait que je base mes écrits sur le vécu de faits réels.

« Connais-toi toi même » disait il y a bien longtemps ce bon vieux Socrate ! Quel meilleur « sujet de laboratoire » que moi-même, pouvais-je prendre à ce titre, pour présenter au lecteur le milieu motard?

Les sources d’inspiration n’ont, du fait, pas été bien dures à trouver. Une large partie en effet  de mes écrits se réfère à mes propres expériences, dont le fil-conducteur n’est autre que la passion qui me lie à la moto.

« Enfourche tes rêves… » n’est rien de mieux que « l’histoire d’un mec » ordinaire, surfant sur l’extraordinaire vague de la culture motarde. Derrière le mythe du « blouson noir » existe un véritable esprit de corps, de fraternité, et de solidarité. Une découverte pour beaucoup de mes lecteurs derrière laquelle s’offrent à eux, de bien belles intrigues, des contes modernes et autres fables contemporaines. Sont entre autres cités, avec humour, sources et origines du salut motard, avec émotion, la naissance du « Club 69 » du révérend motard Bill Shergold, avec conviction, la genèse des toutes premières concentrations motos hivernales, avec colère aussi, certains agissements de médias trop souvent affairés à écraser motards et bikers, dans du journalisme de bas étage.

Comment avez-vous connu Edilivre et pourquoi avez-vous décidé de publier chez Edilivre ?
Pour être tout à fait honnête, mon manuscrit est passé, par le biais du net, dans les mains de nombreuses maisons d’édition, Edilivre compris. J’ai reçu en retour un grand nombre de propositions de contrat. Edilivre a su se démarquer au regard de son côté familial et accessible. J’ai de même apprécié leur empathie, ainsi que l’accompagnement de par lequel j’ai réussi à surmonter mes angoisses de jeune auteur.

Pourquoi avoir choisi les services « Référencement Decitre », « Pack numérique » et « couverture personnalisée » ? Qu’ont-ils apporté à votre livre ?
La couverture personnalisée, était pour moi absolument incontournable, en ce sens où je pense qu’elle n’est autre que l’âme de l’ouvrage, et le reflet de ce qui se cache en son cœur.

Le référencement Decitre est quant à lui un atout indéniable, et bon nombre de mes exemplaires de livres ont été vendus à ce jour grâce à ce groupe indépendant de libraires.

Quand au « Pack numérique », même si je préfère et de loin l’odeur et le toucher du papier, il reste un outil bien pratique permettant de garder à tout instant à portée de mains quelques 254 pages de plaisir.

Comment avez-vous fait la promotion de votre livre (amis, médias, événements, blogs, forums, réseaux sociaux…) ?
Le monde de la moto est une grande famille, le bouche à oreille la meilleure des publicités. Ces deux vecteurs ont été mes plus fidèles alliés. Très vite, les radios locales, puis les magasines spécialisés, se sont intéressés au livre. La solidarité a alors fait place à la curiosité. Le monde de la littérature a commencé à se pencher sur mes écrits: forums de discussions, blogs et clubs de lecture, Bêta-lecteurs et autres critiques. Aujourd’hui mon livre s’est « humanisé ». Beaucoup de non motards l’ont lu et l’ont vraiment apprécié. Je voulais mon témoignage accessible à tous… Il semblerait bien que ce soit réussi.

Quels sont vos projets d’écriture à venir ?
Au regard de cette première expérience, au plaisir que j’ai au quotidien à recevoir remerciements et encouragements des lecteurs, il est possible que je me lance dans l’écriture de la suite de « Enfourche tes rêves… » dès le troisième trimestre de l’année 2016.

La plus belle de mes aventures disais-je sur ma quatrième de couverture? Oui, mais rien ne dit aujourd’hui qu’il n’y en aura pas d’autres!

Écrivez 3 conseils que vous pourriez donner aux auteurs Edilivre pour les aider à écrire et à promouvoir leur livre ?
En novembre 2014, j’ai eu l’occasion de discuter avec un artisan libraire, à qui j’ai remis mes toutes premières pages de manuscrit. J’ai gardé le souvenir d’un œil brillant et d’une intonation de voix vibrante. Le chant guerrier d’un poète !

« Quoi qu’il advienne, allez jusqu’au bout. Qu’il trouve un jour ou non éditeur, ce manuscrit est une partie de vous qui sommeille au bout de vos doigts et qui ne demande qu’à se réveiller… »

Un conseil que j’ai suivi à la lettre… Le seul à ce jour qui me semble bon d’être donné.