Rencontre avec Fatiha El Babili, auteure de « Initiation à la botanique »

Présentez-nous votre ouvrage en quelques mots ?
Il s’agit d’une approche pédagogique simple du monde végétal.

Pourquoi avoir écrit ce roman ?
Mon parcours professionnel atypique me prive de la possibilité de donner autant que je l’aurais souhaité à la pédagogie concernant l’étude des plantes médicinales dont je suis spécialiste. Elargir mon champ de partage pédagogique au travers de l’écriture s’est révélé être une nécessité mais aussi un besoin profond de m’exprimer, de donner pour continuer d’évoluer grâce à cette forme de partage mais aussi d’échange, une étape importante que j’espère vivre avec mes futurs lecteurs.

Quel message avez-vous souhaité transmettre à travers votre ouvrage ? 
Un message de courage, de respect car dans la nature comme dans la vie des hommes beaucoup de choses inconnues gênent, rebutent, parfois poussent au rejet, à la discrimination chez l’homme, alors qu’il suffit juste de comprendre comment les choses marchent pour les accepter simplement.

A quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
A tous les passionnés du monde végétal, étudiants, autodidactes, etc… mais aussi à tous puis ce que nous vivons tous entourés de plantes.

Quelles sont les qualités de votre ouvrage ?
Simplicité, précision, pédagogie.

Quels sont les thèmes qui vous inspirent le plus ?
La nature sous toutes ses formes : végétaux, champignons, mais aussi l’interaction homme-nature qui elle seule peut apporter à l’homme sa richesse et sagesse.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Un livre sur les basidiomycètes est en cours édition. Un livre sur l’initiation à l’anatomie végétale est en cours. Et beaucoup d’autres projets germent encore dans ma tête…

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Je souhaite de tout cœur à travers mon livre vous faire sentir à quel point le monde végétal est passionnant. Il est à de nombreux égards une source inépuisable de réponses à toutes les questions que chacun de nous s’est posé, se pose ou se posera ; car nous faisons partie intégrante de ce monde, bien que l’on ait l’impression d’être supérieurs ou au dessus du moins.