Rencontre avec Michaël Viardot, auteur de « Moi, chaussure »

Présentez-nous votre ouvrage en quelques mots ?
Il y a l’expression : « se faire jeter comme une vieille chaussette »… Dans cette nouvelle, ce serait plutôt se faire jeter comme une vieille chaussure ! Un peu d’humour et de tristesse, dans une nouvelle imaginaire où une chaussure a la parole.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Pourquoi ne pas rendre hommage aux objets qui nous supportent ?

A quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
Jeune public mais aussi aux adultes qui ont envie de rire un peu !

Quelles sont les principales qualités de votre livre ?
Beaucoup d’humour en peu de pages…

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers votre ouvrage ?
Message d’espoir : oui, les chaussures pensent et nous parlent. Alors imaginez ce qu’elles ressentent quand vous portez des chaussettes sales !

Où puisez-vous votre inspiration ?
Paraît-il qu’on a tous un quart d’heure par jour de folie, où l’on pense, dit et peut faire n’importe quoi. Faire parler des chaussures à un moment donné n’a donc rien de choquant. L’inspiration vient en marchant !

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
La suite des nouvelles sorties récemment : Les aventures de Bernardin. Et pourquoi pas se lancer dans une biographie qui parlerait de mon métier : la sécurité incendie.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
En espérant que cette nouvelle vous apportera un moment de détente. Toutes les critiques sont les bienvenues, en espérant que vous ne serez pas trop dur avec moi ! Aimez vos chaussures et les chaussures vous le rendront ! A bon cireur, salut !
.