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L’auteur à succès du mois : Jean-Michel Audoual
9 mai 2014
Posté par
Flora

L’auteur à succès du mois : Jean-Michel Audoual

Nous avons le plaisir de vous présenter  » L’auteur à succès du mois « , Jean-Michel Audoual et son ouvrage Confessions ordinaires d’un enfant précoce qui s’est vendu à plusieurs centaines d’exemplaires en 2013. 

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Depuis quand écrivez-vous ?
J’écris depuis mon plus jeune âge, 7-8 ans et j’ai toujours écrit par plaisir.

Quel est votre passé en tant qu’auteur ? Cet ouvrage est-il votre première publication ?
« Confessions ordinaires d’un enfant précoce » est mon premier ouvrage. J’ai rédigé d’autres manuscrits mais je ne les ai jamais publiés. J’ai actuellement un second livre en cours de finalisation et un autre qui se trouve dans les tiroirs. Ce roman est ma première expérience dans le monde de l’édition.

Pourquoi avez-vous écrit ce livre ? Quelles ont été vos sources d’inspiration pour écrire ce livre ?
J’ai écrit ce premier livre sur un sujet qui me tient à cœur. Je suis enseignant auprès d’enfants précoces. Je ne voulais pas écrire un essai car ce genre n’était pas à ma portée. Je le considérais comme trop technique et inaccessible. Alors je me suis laissé séduire par le format du roman. Mon but était de faire passer un message, que mon livre soit un réel témoignage des difficultés rencontrées par les parents d’enfants surdoués.

Comment avez-vous connu Edilivre et pourquoi avez-vous décidé de publier chez Edilivre ?
J’ai un ami dont le beau-père a publié chez Edilivre. C’est donc de bouche à oreille que j’ai eu connaissance de cette maison d’édition. J’ai contacté cette personne pour avoir de plus amples informations concernant Edilivre. J’ai déposé mon ouvrage et j’ai reçu très rapidement une réponse favorable de leur part. Je me suis donc lancé dans l’aventure avec eux.

Comment s’est passée l’édition de votre livre chez Edilivre ? Avez-vous été satisfait de nos services et de notre accompagnement ?
J’ai été très satisfait de l’édition de mon ouvrage. Cela a été très rapide. J’ai été tenu informé des différentes étapes. C’est très intéressant de voir l’évolution de la mise en page de son livre. Le rendu final m’a réellement séduit.

Pourquoi avoir choisi ce titre ? Pensez-vous qu’il ait bénéficié au succès de l’ouvrage ?
J’ai mis très longtemps à choisir le titre de cet ouvrage. Je souhaitais que le terme « Enfant précoce » apparaisse dans le titre afin que celui-ci soit explicite. Finalement, le résultat espéré a été obtenu car je trouve, et des lecteurs me l’ont confirmé, le titre est très évocateur ! On comprend par le terme « confessions » qu’il s’agit d’un témoignage. J’ai choisi « ordinaires »  car un enfant précoce se considère comme ordinaire. Il y a un réel décalage entre ce que l’enfant ressent et la réalité. C’est cette situation que je voulais que le titre fasse ressortir. De plus, le titre est un alexandrin et cela tombe plutôt bien. J’ai eu de bons retours concernant cet élément. En effet, on me dit souvent que ce titre a été très bien choisi.

Vous avez opté pour la réalisation d’une couverture personnalisée. Pensez-vous que celle-ci est bénéficiée au succès de votre ouvrage ?
Le petit garçon présent sur la couverture a été réalisé en s’inspirant d’une photo. Cette couverture a été réfléchie à deux : moi et ma compagne. Je voulais absolument qu’un jeu d’échec soit présent mais ma compagne m’a conseillé de mettre uniquement une pièce du jeu. C’est donc une création originale à 2 mains. Je pense qu’elle attire bien l’œil et qu’elle a bien aidé pour faire connaître mon ouvrage. De plus, le noir & blanc ressort bien et sur le présentoir, la couverture donnait un très beau rendu. On voit et remarque beaucoup mon ouvrage grâce à cette première de couverture. Et il s’agit d’un plus très important. Si je devais refaire la couverture, je ferais exactement la même chose. J’en suis très satisfait. De plus, elle plaît aussi beaucoup aux enfants avec le dessin. Elle me permet donc de toucher un large public.

Expliquez-nous comment avez-vous réussi à vendre plus de 400 exemplaires sur un an de votre ouvrage ?
Tout d’abord, j’en ai beaucoup donné à mes proches, mes collègues, mes élèves et mon entourage. L’élément qui m’a beaucoup aidé a été le référencement de mon ouvrage dans la bibliographie de l’association « AFEP » (Association Française pour les Enfants Précoces). La présidente de cette association au niveau de la région Poitou-Charentes a lu mon ouvrage et l’a beaucoup apprécié. Elle a donc contacté le siège parisien de l’association afin de référencer mon ouvrage dans la bibliographie de l’association. Et sa démarche a fonctionné ! Cela m’a permis de faire connaître mon livre à une plus grande échelle. J’ai également donné des conférences sur la précocité des enfants où je présentai mon ouvrage à cette occasion. Le bouche à oreille a également beaucoup fonctionné. Beaucoup de gens ont parlé entre eux de mon ouvrage. De plus, j’ai également effectué plusieurs séances de dédicaces dans des librairies où cela a plutôt bien fonctionné.

Plus de la moitié de vos ouvrages a été vendue via les librairies ? Comment l’expliquez-vous ? Quelles démarches avez-vous mis en place auprès d’eux ?
J’ai été invité par la librairie Chapitre à Angoulême à une séance de dédicaces. La première fois, celle-ci a très bien fonctionné. Tous les ouvrages commandés ont été vendus. Les responsables de la librairie m’ont donc invité une seconde fois. La deuxième fois, j’ai dédicacé mes ouvrages à côté de Daniel Picouly, ce qui a été un grand honneur pour moi. Par la suite, j’ai démarché d’autres librairies afin d’obtenir d’autres séances de dédicaces. Suite à ces démarches, j’ai effectué des séances de signatures dans des « Cultura » de ma région mais aussi dans un Centre Culturel Leclerc où j’ai été très bien accueilli. Les personnes de ce lieu ont été très sympathiques et ouvertes. Je les ai rencontrées, leur ai présentées mon livre et elles ont accepté ma demande d’organiser une séance de dédicaces.

Avez-vous utilisé des supports de communication fournis par Edilivre tels que des affiches, des cartes de visites, des marque-pages ? Qu’est-ce-que ces supports vous ont permis dans la promotion de votre ouvrage ?
Les marques-pages et les cartes de visite sont des supports très utiles. Je les laisse toujours sur ma table lors d’une séance de dédicaces dans une librairie ou lors d’un salon. J’en donne aussi à des lecteurs qui viennent me voir mais ne repartent pas avec un exemplaire de mon livre. Je pense que ces supports permettent à la personne d’acheter l’ouvrage après coup. Ils sont donc très importants pour laisser une trace dans l’esprit du lecteur.

Vous avez bénéficié d’un article dans la presse locale concernant votre roman. Comment l’avez-vous décroché ? Qu’est-ce que cette mise en avant a apporté à votre ouvrage ?
L’un des pères de mes élèves est journaliste. Il a contacté un de ces collaborateurs au sujet de mon livre. Suite à cela, un journaliste de La Charente Libre, un journal local de ma région, m’a contacté. Nous avons passé un agréable moment à discuter de mon livre. L’article concernant mon livre était en première page du journal. C’était une très belle mise en avant qui a offert une importante visibilité à mon livre ! Je pense que cet article a été le premier pas pour faire connaître mon livre.

Avez-vous participé à des salons ? Qu’est-ce que ces événements ont-ils apporté à votre ouvrage ?
J’ai participé au Salon du Livre d’Auchan qui a bien fonctionné. J’ai également été invité au Salon des Littératures Européennes de Cognac, sur le stand «  Jean Monnet ». Cette année-là, c’était l’Italie qui était à l’honneur mais mon ouvrage avait toute sa place. Ce salon est une très belle histoire qui est partie d’une rencontre avec l’une de mes lectrices. Une lectrice que j’ai rencontrée lors d’une de mes séances de dédicaces a beaucoup aimé mon ouvrage et étant donné qu’elle était responsable du stand « Jean Monnet » à cet événement, elle m’y a invité. De plus, Jean Monnet était un enfant précoce, mon ouvrage avait donc toute sa place lors de ce salon et sur ce stand. Beaucoup de personnes fonctionnent sur le coup de cœur est cela a beaucoup aidé mon ouvrage à vivre et à prendre son envol. J’ai également participé plus récemment au Salon du Livre de Paris où j’ai été très bien accueilli. J’y ai également fait de très belles rencontres : auteurs comme lecteurs notamment l’auteur, Daniel Guénand.

Vous attendiez-vous à un tel succès ?
Je savais que cet ouvrage était sur un sujet porteur car beaucoup de parents sont concernés par cela. Je pensais au départ en vendre une cinquantaine. J’arrive actuellement à peu près à 500 exemplaires et j’en suis très surpris mais aussi très satisfait.

Quels conseils souhaitez-vous donner aux autres auteurs Edilivre qui lisent cette interview afin de promouvoir leur livre ?
Le conseil que je donnerais est de ne pas hésiter à parler de son ouvrage auprès de tout le monde et de tous les gens que l’on connaît. N’hésitez pas à vous manifester auprès des centres Leclerc et Cultura de votre ville. Ces centres culturels sont très ouverts pour organiser des séances de dédicaces à des auteurs de la région. Faire 7 à 8 séances de dédicaces, c’est déjà très bien. La presse est également un support qui permettra à votre ouvrage de se faire connaître. N’hésitez donc pas à contacter des journalistes. Les médias sont un très grand coup de projecteur et d’une grande aide pour se faire connaître.
Pour ma part, cet ouvrage a également été une formidable carte de visite étant donné qu’un inspecteur de l’éducation nationale m’a connu grâce à celui-ci. Par la suite, il m’a proposé des formations auprès d’enseignements au sujet des enfants précoces.
Le bouche à oreille entre les personnes et leur solidarité sont également des atouts formidables pour faire prospérer son livre et sont d’une grande aide. La solidarité née autour de mon livre est un très bel exemple. Une personne membre du Lions Clubs a beaucoup apprécié mon ouvrage et elle m’a donc proposé d’animer des formations et des conférences. Cet autre exemple montre que les lecteurs qui ont aimé mon ouvrage sont les meilleurs relais pour le diffuser encore plus largement et auprès d’un plus grand nombre de personnes.

Quels sont vos futurs projets d’écriture ou autres ?
J’écris actuellement un ouvrage dont j’ignore encore le titre. J’en suis au trois quarts et je pense qu’il me reste encore un an avant de le finaliser.
J’ai également fini un recueil de nouvelles qui s’intitulera « Le vase et la goutte d’eau » qui est actuellement en cours de relecture. Ce sont de courtes nouvelles d’1 à 2 pages qui porteront sur les objets quotidiens tels que le compas, un vase,…