Interview écrite

22 octobre 2013
Posté par
Flora

Rencontre avec Lena Klaus-Berger, auteur de  » Des nuits ecchymoses  »

Lena_Klaus_Berger_EdilivrePouvez-vous introduire en quelques mots votre ouvrage ?
Ce livre présente une suite d’histoires où l’amour, sous toutes ses formes, se partage avec la poésie et la psychologie. Des bonheurs et des drames mais toujours avec une grande sensibilité, la beauté de la nature et celle, bien plus importante, de l’intérieur de l’être.

Pourquoi avoir choisi ce titre ?
Dans chaque histoire, il y a forcément une nuit qui passe. Cette nuit fait réfléchir, exalte ou détruit. Elle est donc pour les personnages source d’ecchymoses. Françoise Sagan écrivait en son temps « Des bleus à l’âme », c’est un peu pareil dans le principe.

Y a-t-il un message que vous souhaitez transmettre à travers ce livre ?
Le message serait d’être attentif à l’autre, de n’être jamais blasé mais plein d’espoir en la vie, être sincère, fidèle à soi-même avec les yeux ouverts sur la beauté en tout.

Que vous apporte l’écriture ?
Je ne fonctionne pas en termes de profit ou d’attente. J’écris. Point. C’est une nécessité pour mon épanouissement et j’aime faire partager des émotions et des réflexions profondes.

Quelles ont été vos sources d’inspiration pour écrire cet ouvrage ?
Cet ouvrage n’est pas autobiographique. J’ai croisé beaucoup de monde dans ma vie, je les ai aimés ou ignorés mais il en est toujours resté quelque chose.

Etes-vous également attirée par d’autres genres littéraires ?
Le genre littéraire est fonction du contenu. J’écris des articles chaque mois dans des revues en spiritualité. Mes tiroirs sont pleins d’histoires. J’ai écrit deux thèses et été journaliste. Donc, diversité oblige.

Avez-vous d’autres ouvrages en préparation ?
Oui, je prépare un autre livre. J’écris tous les jours de 4h à 9h du matin. Mais je garde le sujet secret. Se dévoiler, c’est se perdre un peu.

Un dernier mot pour vos lecteurs ?
Lisez-moi, bien sûr. Ce livre n’a pas une belle photo de couverture, il est vierge et c’est voulu. Un grand éditeur parisien a édité les plus grands auteurs avec une page de couverture nue et un nom qui ont mené au prix Goncourt !