Interview écrite

23 mai 2013
Posté par
Flora

Rencontre avec Samy Baroukh, auteur de  » A la croisée des chemins « 

Samy_Barouck_Edilivre

Pouvez-vous introduire, en quelques mots, votre ouvrage ?
Au cours de notre existence on est amené à rencontrer des personnes, à faire des choix qui peuvent changer notre quotidien, chacun peut s’y retrouver.

S’agit-il d’un roman, d’un recueil de nouvelles ?
Il s’agit d’un recueil de nouvelles, pour ma première expérience en littérature je ne voulais pas me lancer dans un gros livre donc j’ai choisi l’exercice de la nouvelle qui est un peu l’équivalent d’un E.P. dans le domaine musical.

Le titre de votre ouvrage, A la croisée des chemins, renvoie-t-il à une notion de fatalité ?
Pour moi la fatalité cela signifie accepter son destin quoi qu’il arrive et ne pas explorer d’autres possibilités que la vie nous propose. A la croisée des chemins évoque la rencontre. Si j’avais voulu faire un livre sur la fatalité, j’aurais choisi C’est comme ça ! comme titre.

Vos personnages rencontrent-ils un destin particulier ?
Pour certains c’est la mort car je tournais en rond dans leurs récits respectifs, j’aurais pu faire que des fins heureuses mais certaines des histoires ne s’y prêtait pas. Pour mon personnage dans Musiques j’ai envie de dire que l’histoire continue de s’écrire dans le réel, car c’est inspiré de mon vécu même si j’ai changé certains détails, lisez le livre vous comprendrez mieux.

Cherchez-vous à délivrer un message à travers leur histoire ?
Mon but n’est pas de délivrer un message mais de créer et de divertir. Cela a toujours été mon leitmotiv quand j’ai commencé a écrire des textes de chanson depuis l’age de 13 ans, mais c’est vrai qu’en me relisant j’ai l’impression que j’ai laissé des messages dans le livre.

Vous avez écrit 7 histoires, chiffre symbolique. Y-t-il un fil conducteur particulier qui relie ces différentes intrigues ?
A l’origine j’avais écrit quatre histoires mais j’ai estimé que c’était court donc j’en ai écrit trois autres pour qu’il y est plus de contenu. J’aurais pu écrire dix voire trente-quatre histoires mais je ne voulais pas lasser les lecteurs et le seul fil conducteur c’est la rencontre.

Un dernier mot pour vos lecteurs ?
Lisez ! Quelque soit l’ouvrage que l’on vous propose, si ça peut vous permettre de faire travailler votre imagination , ou de tuer votre ennui.