Interview écrite

12 juillet 2017
Posté par
Flora

Rencontre avec Louis Lucas, auteur de « L’objet de mon affection »

Louis LucasPrésentez-nous votre ouvrage?

Comme l’indique la quatrième de couverture de mon roman : la vie est un parcours semé d’embûches qu’il est préférable d’emprunter à deux. Mais comment choisir son
partenaire ? Faut-il attendre que le destin vienne jouer sa partition avant de s’engager ?
Quelle influence ce partenaire aura sur nos rêves, nos idéaux, nos projets ? Le coup de
foudre et la passion sont-ils seulement de grands mythes qui tendent à redorer le blason
éculé de l’amour ? Avec un soupçon de psychologie, un chouïa de suspense, une pincée
d’humour, le tout saupoudré d’ingrédients secrets, « L’objet de mon affection » propulse
son héros, Léo, dans les méandres de l’amour et tente, vainement, de répondre à
quelques unes de ces questions.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?

L’écriture fait partie intégrante de ma vie depuis l’enfance. Des ébauches de poèmes aux
premiers essais romanesques, d’innombrables oeuvres inachevées jalonnaient jusqu’à
présent mon parcours d’apprenti écrivain. Mon imagination fourmille en permanence
d’historiettes qui réclament mon attention mais ma plume avait besoin de temps pour mûrir
et digérer tous ces romans, ces films, ces bandes-dessinées, ces oeuvres culturelles qui
m’ont un jour marqué.
Lorsque j’ai entamé l’écriture de « L’objet de mon affection », j’ai tout de suite su que s’il
ne devait y avoir qu’un seul roman, ce serait celui-là car cette histoire répondait à l’idéal
vers lequel je tends : offrir au lecteur un voyage émotionnel qui soit à la fois littéraire et
accessible.

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?

« L’objet de mon affection » ne s’adresse à aucun public en particulier même s’il plaira
plus volontiers aux amateurs de romans psychologiques.

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?

Il n’y a pas réellement de message dans « L’objet de mon affection » mais plutôt une
volonté de sortir des archétypes, de donner vie à des personnages qui ne sont ni bons, ni
mauvais, seulement imparfaits, capables du meilleur comme du pire à l’image du monde
dans lequel ils évoluent, ni noir, ni blanc mais constitué d’une multitude de nuances de
gris.

Où puisez-vous votre inspiration ?

Un film, un livre, une musique, une discussion, quelques mots glanés ici ou là, tout instant
de vie, qu’il soit réel ou fictif trouve un écho dans mes écrits. Dès lors que cela me
marque, il y a de grandes chances pour que cela renaisse sous une forme ou une autre
dans un roman, un poème ou une nouvelle. Lorsque j’écris, je n’ai aucun plan établi. Je
laisse les mots venir à moi.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?

J’ai plusieurs idées de romans qui se chevauchent, certaines dans la droite lignée de
« L’objet de mon affection », d’autres à l’opposé.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Merci !